Stacey Kent Trio
Stacey Kent chant
Jim Tomlinson saxophone/percussion
Art Hirahara claviers
Miss Stacey est de retour au Victoria Hall, une salle qui l’émeut toujours beaucoup et dans laquelle elle adore se produire. Parce que la chanteuse américaine, férue de littérature, adore la francophonie qui la relie aux origines de son grand-père français parti vivre aux États-Unis. Et les vibrations historiques dégagées par la salle genevoise permettent à chaque fois à Stacey de hisser son niveau d’inspiration à de jolies altitudes. En compagnie de son compagnon de vie et de jeu, le saxophoniste et flûtiste Jim Tomlinson, et d’Art Hirahara, un claviériste à vocation d’arc-en-ciel harmonique, le programme sera assurément un élégant panachage entre standards joliment redessinés et perles brésiliennes délicatement retravaillées, puisque la chanteuse a par exemple déjà rendu hommage au talent de Roberto Menescal et à celui des compositeurs des plus belles bossas novas du répertoire.
Alexandre Kantorow
Brahms, Sonate n° 1, et surtout Schubert, Wanderer Fantasie, rarement présentée en concert. Voilà déjà une bonne raison pour venir écouter Alexandre qui, à 22 ans, est le premier pianiste français à remporter la médaille d’or du Concours Tchaïkovski ainsi que le Grand Prix, décerné seulement trois fois auparavant dans l’histoire du concours. Déjà salué par la critique comme le «jeune tsar du piano» (Classica) et la «réincarnation de Liszt» (Fanfare), il a reçu de nombreux autres prix et est déjà invité à se produire au plus haut niveau dans le monde entier.
Orchestre symphonique genevois
Hervé Klopfenstein direction
François-Xavier Poizat piano
Modeste Moussorgski
Une nuit sur le mont Chauve
Franz Liszt
Concerto pour piano et orchestre n° 1 en mi bémol majeur
Les Préludes
Alexandre Borodine
Danses polovtsiennes
Orchestre symphonique Bande-Son
Tale of Fantasy
El Mariachi Veracruz
Thierry Besançon direction
Sophie Graf soprano
Didier Coenegracht chanteur
Serge Schläppi harmonica
Cérémonie de remise du Prix 2023 de la Fondation pour Genève
Depuis 1978, le Prix de la Fondation pour Genève honore des Genevois-es d’origine ou d’adoption ainsi que des institutions qui participent au rayonnement de Genève en Suisse et dans le monde dans les domaines scientifiques, politiques, économiques, culturels ou humanitaires.
Jean-Pierre Greff, directeur de la HEAD-Genève (2004-2022), est le lauréat du Prix 2023 de la Fondation pour Genève. Le prix lui sera remis le lundi 3 avril 2023 à 18h30 au Victoria Hall au cours d’une cérémonie en présence des autorités genevoises.
Message des autorités fédérales, cantonales et municipales
par Madame Marie Barbey-Chappuis, maire de Genève
«Genève, l’art, le design et le cinéma au cœur»
avec parmi les personnes intervenantes
Ruedi Baur, designer graphique,
Jean-Pierre Blanc, directeur du Festival international de la mode de Hyères,
Isabelle Gattiker, directrice générale de l’Office cantonal de la culture et du sport,
Charlotte Laubard, responsable du Département des arts visuels de la HEAD,
India Mahdavi, architecte et designer,
François de Marignac, associé fondateur de FdMP architectes, et
Agnès Thurnauer, artiste
Intermèdes musicaux par
Ivan Illić, pianiste, et
les étudiant-es de la Haute école de musique de Genève (HEM)
OSR – 100% British
Daniel Harding direction
Håkan Hardenberger trompette
Mark-Anthony Turnage
Håkan, pour trompette et orchestre (première suisse)
Ralph Vaughan Williams
Symphonie n° 5 en ré majeur
Dédié à notre grand soliste de ce soir, Håkan est en fait le deuxième concerto pour trompette écrit par le compositeur anglais Mark-Anthony Turnage en 2014 pour un effectif comprenant des instruments rares, tels différents gongs, des cloches de temple et des cordes de harpe. Entre deux mouvements nimbés d’exotisme, l’Arietta est un beau nocturne dominé par le chant nostalgique de la trompette planant au-dessus des accords des cordes et d’une percussion diaphane.
Daniel Harding sera sans nul doute un des meilleurs ambassadeurs de la musique de Ralph Vaughan Williams si peu connue chez nous. Composée en pleine guerre entre 1938 et 1943 et dédiée à Jean Sibelius qui la trouva «merveilleuse», sa Symphonie n° 5 est un grand chant d’espoir serein et lumineux venant apporter un peu de consolation à ces années tragiques.
Renée Fleming
Orchestre des Nations
artistes du monde entier
Le 8 avril, à 19h30, le Victoria Hall accueillera le Healing Arts Concert pour fêter le 75e anniversaire de l’OMS avec la soprano Renée Fleming et des artistes du monde entier. Ce concert gratuit célébrera le pouvoir de guérison des arts.
Great Symphony Orchestra and Choir
Le fait qu’il soit la seule messe du défunt dans son vaste catalogue et son dernier opus, inachevé (à cause de sa mort), et les circonstances mystérieuses entourant sa commande et sa composition ont construit la légende et la fascination que le Requiem de Mozart continue d’exercer de nos jours.
Le mystère entoure également l’avant-dernière des symphonies de Mozart, la Symphonie n° 40; on ne sait pas dans quelles circonstances, pour quelle raison ou pour quel personnage elle a été écrite, et on ne sait pas si Mozart est venu l’écouter de son vivant.
Great Symphony Orchestra
«La grande nuit de la guitare espagnole!» vous emmène au cœur de la péninsule Ibérique. Dans une musique inspirée par la tradition et imprégnée de mélodies lyriques, le son brillant et l’énergie rythmique de la guitare capturent les sons et la sensualité de l’Espagne comme aucun autre instrument ne peut le faire.
Au cœur du programme se trouve l’un des concertos les plus populaires au monde: le Concierto de Aranjuez de Rodrigo. L’interprétation virtuose du Great Symphony Orchestra saisit à la fois les thèmes lyriques de l’œuvre et ses rythmes de danse entraînants, évoquant les jardins d’Aranjuez et la chaleur du soleil andalou.
Avec la suite de Carmen de Bizet et El Amor Brujo de Falla qui complètent le programme, ce concert évoque l’esprit et la couleur de l’Espagne à travers certaines de ses musiques les plus séduisantes.
L’Orchestre symphonique des jeunes du Venezuela
Andrés David Ascanio Abreu direction
John Adams
Short Ride in a Fast Machine
Arturo Márquez
Danzón n° 8
Divers extraits de chorales
Aldemaro Romero
Fuga con Pajarillo
Camille Saint-Saëns
Danse Bacchanale
Richard Wagner
Rienzi, ouverture
Camille Saint-Saëns
Danse macabre
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Suite n° 3: Theme and Variations
L’Orchestre symphonique des jeunes du Venezuela, sous la baguette de leur directeur artistique, Andrés David Ascanio Abreu, vous invite à célébrer avec eux la Journée mondiale de l’art avec leur programme cosmopolite.
El Sistema, fondation d’État pour un système national d’orchestres pour la jeunesse du Venezuela, a été fondé il y a 48 ans et a pour mission l’amélioration de la qualité de vie des enfants du Venezuela grâce à une politique audacieuse d’éducation musicale. L’Orchestre symphonique des jeunes du Venezuela, créé par le Maestro José Antonio Abreu en 1995, rassemble les plus grands talents issus d’El Sistema âgés de 8 à 16 ans, dont l’ancien étudiant Gustavo Dudamel. L’orchestre a joué sur les scènes européennes les plus prestigieuses comme la Philharmonie de Berlin, le Festival de Salzbourg ou la Scala de Milan. Cette cohorte de 170 musiciens a fait ses débuts avec son directeur musical Andrés David Ascanio Abreu pour célébrer le 48e anniversaire d’El Sistema dès le début de l’année 2023. Dans le cadre de la visite de l’orchestre en Suisse, ils donneront également un concert aux Nations Unies pour commémorer la Journée internationale du multilatéralisme et l’indépendance du Venezuela le 19 avril.
OSR – Ode à la joie
Jonathan Nott direction
Elizabeth Watts soprano
Hanna Hipp mezzo-soprano
Saimir Pirgu ténor
Daniel Schmutzhard baryton
Zürcher Sing-Akademie chœur
Florian Helgath chef de chœur
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 9 en ré mineur, op. 125, avec un chœur final sur l’Ode à la joie de Schiller
Choisi en 1972 comme hymne officiel de l’Union européenne, le thème de l’Ode à la joie célèbre la paix entre tous les peuples et pour tout le genre humain. Un vaste programme qui fut le credo de toute la vie de Beethoven à travers plusieurs de ses œuvres.
La Neuvième Symphonie élargit l’histoire de la symphonie par sa longueur inusitée et par un effectif incorporant quatre solistes vocaux et un grand chœur pour chanter le poème de Schiller. Beethoven innove une fois de plus en créant une nouvelle forme musicale tout en lançant un fantastique appel d’espérance pour le monde.
Finale du Concours Horowitz Kyiv-Genève
Finale de piano
L'Orchestre de la Suisse romande est rejoint par des musiciens de l'Orchestre National d'Ukraine.
Finalistes du Concours Horowitz Kyiv-Genève 2023
Jury: Giuseppe Albanese, Michel Béroff, Alexej Gorlatch, Rico Gulda, Tisa Ho, Kirill Karabits (président), Piers Lane, Maria Murawska, Sisi Ye
Kirill Karabits direction
Fondé en 1995, le Concours International pour Jeunes Pianistes en mémoire de Vladimir Horowitz commémore l’éminent artiste Ukrainien et légendaire pianiste Vladimir Horowitz, qui est né et fut instruit à Kyiv. Considéré comme une des grandes institutions culturelles d’Ukraine, le Concours Horowitz promeut les échanges internationaux, l’amitié et le dialogue dans un contexte d’excellence artistique, d’équité et d’égalité.
La situation actuelle ne permettant pas l’événement de prendre place à Kyiv, La Fédération Mondiale des Concours Internationaux de Musique a décidé de soutenir le Concours Horowitz et de l’inviter à se tenir à Genève.
En route vers l’Arménie
Karine Mkrtchyan, soprano, et Armine Mkrtchyan, soprano
Todd Camburn, piano
Michèle Lubicz, doudouk
Karine Mkrtchyan soprano
Armine Mkrtchyan soprano
Todd Camburn piano
Michèle Lubicz doudouk
En route vers l’Arménie: airs et duos d’opéra et chants traditionnels
Œuvres de Bizet, Tchaïkovski, Delibes, Rachmaninov, Komitas
Orchestre Philharmonique du Luxembourg
Gustavo Gimeno direction
Martin Grubinger percussions
György Ligeti
Concerto Românesc
Daníel Bjarnason
Concerto pour percussions
Nikolaï Rimski-Korsakov
Shéhérazade
Le Motet de Genève
L’Orchestre de Chambre de Genève
direction Romain Mayor
Romain Mayor direction
Laurence Guillod soprano
Valérie Pellegrini alto
Nino Aurelio Gmünder ténor
Yan Bua ténor
Raphaël Hardmeyer basse
Franz Schubert
Intende Voci
Messe en mi bémol majeur
Ensemble Polhymnia et Orchestre de la Haute école de musique Genève
Franck Marcon direction
Xavier Dayer
Depuis que le silence n’est plus le père de la musique (sur des textes de Nicolas Bouvier)
Créé le 31 janvier 2021, en pleine pandémie et pour une captation vidéo sans public, Depuis que le silence n’est plus le père de la musique est une commande de l’Ensemble Polhymnia au compositeur Xavier Dayer. À la confluence de la musique spectrale et du symbolisme, l’œuvre se fonde sur des poèmes de l’écrivain Nicolas Bouvier extraits du recueil Le Dehors et le Dedans. La partition mêle le chœur de voix féminines de l’Ensemble Polhymnia aux timbres d’un ensemble instrumental de solistes afin de suggérer les sensations primitives de l’être humain au contact du monde qui l’entoure. En déstructurant nos rapports rationnels au discours musical, le compositeur propose une expérience de l’écoulement inéluctable du temps, de l’ineffable, de la mort et du néant.
Chucho Valdés Quartet
Légendaire géant à la casquette, au style indémodable et reconnaissable entre tous, voici l’immense pianiste Chucho Valdés et ses musiciens. Lauréat de six GRAMMY® et de trois Latin GRAMMY® Awards, le pianiste, compositeur et arrangeur cubain Chucho Valdés est la figure la plus influente du jazz afro-cubain moderne.
Interprète protéiforme, aussi à l’aise en solo qu’à la tête de petits et grands ensembles, son projet le plus récent, Jazz Batá 2, est une œuvre exceptionnelle dans laquelle il revisite une idée qu’il avait explorée pour la première fois en 1972: un trio piano-jazz mettant en place avec des tambours batá à la place de la batterie traditionnelle. Les batá sont les tambours sacrés en forme de sablier utilisés dans la musique rituelle de la religion yoruba, mieux connue sous le nom de Santeria. Ça va bouger, bouger, bouger.
Alexei Volodin
Alexei Volodin piano
Frédéric Chopin
Nocturne en fa majeur, op. 15 n° 1
Fantaisie en fa mineur, op. 49
Nocturne en fa dièse majeur, op. 15 n° 2
Barcarolle en fa dièse majeur, op. 60
Polonaise-fantaisie en la bémol majeur, op. 61
Douze études, op. 25
Pour plus d’informations: www.grandsinterpretes.ch
Orchestre Symphonique de l’AMAA
Philippe Régana direction
Sergey Beliavsky piano, lauréat du Concours de Genève 2022
Giuseppe Verdi
Ouverture de l’opéra La Traviata
Dimitri Chostakovitch
Concerto pour piano et orchestre n° 2 en fa majeur, op. 102
Nikolaï Rimski-Korsakov
Shéhérazade
Swiss Orchestra
Lena-Lisa Wüstendörfer direction
Michael Barenboim violon
Antonio Vivaldi
Concerto Grosso n° 6 en la mineur, op. 3
Hermann Suter
Concerto pour violon en la majeur, op. 23
Felix Mendelssohn Bartholdy
Songe d’une nuit d’été, op. 61 (extraits)
George Templeton Strong
Le livre d’images, suite n° 3
Hermann Suter (1870, Kaiserstuhl – 1926, Bâle) fut l’un des compositeurs les plus importants de Suisse. Il a marqué le paysage musical de son pays. Il a présidé le Basler Gesangverein ainsi que la Liedertafel et a dirigé pendant plus de vingt ans les concerts de l’Allgemeine Musikgesellschaft Basel, jusqu’à sa mort soudaine en 1926. De 1918 à 1921, il dirigea également le conservatoire de Bâle. En tant que chef d’orchestre, il fut un fervent défenseur de compositeurs contemporains et interpréta notamment des œuvres de Richard Strauss, Igor Stravinsky, Arnold Schönberg, Béla Bartók et Arthur Honegger. En 1913. l’Université de Bâle lui attribua le titre de Docteur honoris causa.
Dans ses programmes, Suter mettait un point d’honneur à mettre en avant des lignes de développement couvrant de longues époques, afin de «réjouir le public mais aussi de le guider sans avoir l’air de l’instruire». Le Swiss Orchestra reprend cet idéal dans le programme du Tour #6 et juxtapose le Concerto pour violon en la majeur, op. 23, de Suter, de style romantique tardif, au Concerto Grosso n° 6 en la mineur, op. 3, d’Antonio Vivaldi. Suter avait également choisi cette association lors de la deuxième représentation du concerto pour violon, qui eut lieu en février 1922, un mois après sa création par Adolf Busch, à qui ce concert était dédié.
Mais nous allons encore plus loin que cette alliance originale entre romantique tardif et haut baroque: la mort de Beethoven déchaîne une âpre bataille dans le monde musical, pour savoir si l’avenir de l’art sonore résidait dans la «musique pure», c’est-à-dire exclusivement instrumentale, ou dans des compositions narratives. Ainsi, nous présentons les deux œuvres «absolues» de Suter et de Vivaldi avec des extraits du Songe d’une nuit d’été de Felix Mendelssohn Bartholdy et la suite Le livre d’images de George Templeton Strong, deux compositeurs caractérisés par leur langage musical imagé mais aussi par une musique programmatique.
George Templeton Strong est un compositeur genevois d’origine américaine, né en 1856 à New York. Après plusieurs séjours, il finit par s’installer en Suisse en 1897, où il résidera jusqu’à sa mort en 1948 à Genève. En 1918, Strong est élu au Comité du Conservatoire de musique de Genève, où il soutient bénévolement la promotion de jeunes talents. Personnalité détonante du monde musical de la Suisse occidentale de son époque, Strong fut reconnu en tant que tel entre son 75e et son 90e anniversaire, à l’occasion de concerts et réceptions du Conservatoire de Genève organisés tous les cinq ans. Amateur des montagnes suisses, il s’adonne à la peinture à l’aquarelle, écrit plusieurs poèmes symphoniques et des pièces de musique de chambre. Ces deux arts s’entremêlent dans l’œuvre de Strong, comme on peut notamment le constater dans son Livre d’images, harmonieux et haut en couleur, aux titres évocateurs: «Jack le tueur de géants», «Les rêves de Cendrillon» et «Cortège oriental». L’œuvre Le Livre d’images, suite n° 3, a été éditée pour la première fois en 2020 par le Genevois Didier Gobel à partir des manuscrits originaux détenus par la bibliothèque universitaire. Cette retranscription restitue pour la première fois le troisième mouvement, «Cortège oriental», dans sa version originale pour orchestre de chambre.
Orchestre d’harmonie de l’État de Genève (OHGe)
Jean-Christophe Monnier direction
Juan Crespillo récitant
Edvard Grieg
Peer Gynt
Simone Young à l’OSR
Simone Young direction
Kian Soltani violoncelle
Edward Elgar
Concerto pour violoncelle et orchestre en mi mineur, op. 85
Béla Bartók
Concerto pour orchestre
Entré au répertoire international en 1965 grâce à l’interprétation exaltée et romantique de Jacqueline du Pré, le Concerto pour violoncelle d’Edward Elgar date de 1919, après un long silence du compositeur anglais pendant la guerre. La dernière œuvre importante d’Elgar, contemplatif et élégiaque, brille des feux crépusculaires d’un langage qui s’éteindra avec lui. Passée de mode, sa musique est revenue en force grâce à de nouveaux interprètes qui ont su en déceler toute la grandeur et la noblesse.
Le magistral Concerto pour orchestre de Béla Bartók est aussi une œuvre de fin de vie, à l’époque où le grand compositeur hongrois se mourrait de maladie et d’indigence dans son exil américain. Commandée par des amis désireux de lui venir en aide, l’œuvre s’est vite imposée grâce à son extraordinaire mélange de virtuosité et d’influences populaires hongroises magnifiées par une écriture immédiatement compréhensible. En 1956, à l’orée de la stéréophonie, l’OSR en réalisa un enregistrement qui fit sensation.
Ana Moura
Ana Moura revient enfin en mai 2023, sept ans après son dernier concert inspirant à Genève: Ana Moura – l’une des grandes voix du fado, qui a même atteint le statut de pop star dans son Portugal natal avec l’album de 2006 Desfado, admiré par Prince et les Rolling Stones, avec qui elle partage ensuite la scène. Maintenant, Ana Moura fait un pas en avant avec son tout nouvel album Casa Guilhermina – le nom de sa maison près de Lisbonne – et combine la tradition du fado avec des genres africains comme le sembe & morna et des sons brésiliens. Le résultat est une musique fraîche et rythmée pleine de joie de vivre, dans laquelle elle a redécouvert ses racines angolaises. Avec son nouveau groupe, la chanteuse extraordinaire sera invitée le 11 mai 2023 au Victoria Hall de Genève.
Orchestre Concertus
Irina Chkourindina, piano
François-Xavier Poizat, piano
Matthieu Schweyer direction
Irina Chkourindina piano
François-Xavier Poizat piano
Frédéric Chopin
Concertos n° 1 et n° 2 pour piano et orchestre
Chœur de l’Université de Genève
Orchestre de la Haute école de musique (HEM)
Pierre-Antoine Marçais direction
Laura Andres soprano
Carine Séchaye mezzo-soprano
Pierre Arpin ténor
Rémi Ortega baryton
Francis Poulenc
Quatre petites prières de saint François d’Assise
Claude Debussy
Salut printemps
La Damoiselle élue
Lili Boulanger
Psaume 24
Vieille prière bouddhique
Maurice Duruflé
Requiem
Orchestre de la Suisse Romande – Charles Dutoit
Charles Dutoit direction
Jean-Yves Thibaudet piano
Gabriel Fauré
Pelléas et Mélisande, suite, op. 80
Maurice Ravel
Concerto pour piano et orchestre en sol majeur
Hector Berlioz
Symphonie fantastique, op. 14
Retour aux sources avec ce programme de musique française présenté par deux musiciens mondialement connus et rompus à ce répertoire. Dès l’avènement de l’enregistrement numérique, Charles Dutoit et son Orchestre de Montréal ont réenregistré tout le répertoire qu’Ansermet avait gravé avec l’OSR à partir des débuts du 33 tours, puis de la stéréophonie dont ils furent les pionniers.
Les trois œuvres de notre concert illustrent parfaitement le parcours des deux grands chefs vaudois à la carrière internationale. La délicate musique de scène que Fauré écrivit pour le drame de Maeterlinck Pelléas et Mélisande précède le célébrissime Concerto en sol que son élève Ravel, en partie d’origine genevoise rappelons-le, composa dans un plaisant mélange de classicisme et d’éléments de jazz qui faisait fureur à l’époque. Quant à la Symphonie fantastique de Berlioz, elle fit l’effet d’une bombe dans le ciel musical par ses incroyables audaces qui allaient ouvrir toutes grandes les portes d’une musique résolument moderne.
Freiburger Barockorchester
Kristian Bezuidenhout direction et piano
Lorenzo Coppola clarinette
Corina Golomoz alto
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie n° 25 en sol mineur, K. 183
Trio en mi bémol majeur, «Les Quilles», K. 498
Concerto pour piano n° 9 en mi bémol majeur, «Jeunehomme», K. 271
OSR – Hymnes à la Nuit
Jonathan Nott direction
Asmik Grigorian soprano
Quatuor TANA quatuor à cordes
Yann Robin
Shadows III, concerto pour quatuor à cordes et orchestre
(commande OSR – première mondiale)
Richard Strauss
Salomé, danse des sept voiles, TrV 215, op. 54
Vier letzte Lieder, pour soprano et orchestre, TrV 296
Nourri par la littérature de science-fiction et les films d’horreur qui l’ont toujours fasciné, le compositeur français Yann Robin terminera sa résidence, commencée en 2019, avec Shadows III, un concerto pour quatuor à cordes et orchestre commandé par l’OSR. Cette nouvelle œuvre s’inscrit dans la continuité de son cycle Shadows dont elle représente une extension et une recontextualisation des principaux éléments.
Point culminant de l’opéra de Richard Strauss, la Danse des sept voiles de Salomé nous fascine par ses teintes orientalistes et par sa forte sensualité baignant dans une orchestration particulièrement luxuriante. Composés à l’extrême fin de sa vie lors de son exil dans notre pays après la Seconde Guerre mondiale, les Vier letzte Lieder de Richard Strauss forment le somptueux adieu d’un vieil homme à sa culture, à son œuvre et à sa vie. Ce cycle, d’une beauté crépusculaire bouleversante, a reçu la faveur des cantatrices et du public dès sa création posthume en 1950 à Londres.
OSR – Hymnes à la Nuit
Jonathan Nott direction
Asmik Grigorian soprano
Quatuor TANA quatuor à cordes
Yann Robin
Shadows III, concerto pour quatuor à cordes et orchestre
(commande OSR – première mondiale)
Richard Strauss
Salomé, danse des sept voiles, TrV 215, op. 54
Vier letzte Lieder, pour soprano et orchestre, TrV 296
Nourri par la littérature de science-fiction et les films d’horreur qui l’ont toujours fasciné, le compositeur français Yann Robin terminera sa résidence, commencée en 2019, avec Shadows III, un concerto pour quatuor à cordes et orchestre commandé par l’OSR. Cette nouvelle œuvre s’inscrit dans la continuité de son cycle Shadows dont elle représente une extension et une recontextualisation des principaux éléments.
Point culminant de l’opéra de Richard Strauss, la Danse des sept voiles de Salomé nous fascine par ses teintes orientalistes et par sa forte sensualité baignant dans une orchestration particulièrement luxuriante. Composés à l’extrême fin de sa vie lors de son exil dans notre pays après la Seconde Guerre mondiale, les Vier letzte Lieder de Richard Strauss forment le somptueux adieu d’un vieil homme à sa culture, à son œuvre et à sa vie. Ce cycle, d’une beauté crépusculaire bouleversante, a reçu la faveur des cantatrices et du public dès sa création posthume en 1950 à Londres.
Joyce DiDonato
Joyce DiDonato mezzo-soprano
Craig Terry piano
Joseph Haydn
Arianna a Naxos
Gustav Mahler
Rückert-Lieder
N° 1: «Blicket mir nicht in die Lieder!»
N° 2: «Ich atmet’ einen linden Duft»
N° 3: «Liebst du um Schönheit»
N° 4 «Ich bin der Welt abhanden gekommen»
N° 5: «Um Mitternacht»
Johann Adolf Hasse
Marc’Antonio e Cleopatra, «Morte col fiero aspetto»
Georg Friedrich Haendel
Giulio Cesare in Egitto, «Piangeró»
Hector Berlioz
La Damnation de Faust, «D’amour l’ardente flamme»
Jacques Offenbach
Duo avec Varduhi Khachatryan, soprano
Les Contes d’Hoffmann, «Belle nuit»
Giuseppe Giordani (arr. Craig Terry)
«Caro mio ben»
Alessandro Parisotti (attribué à Giovanni Battista Pergolesi) (arr. Craig Terry)
«Se tu m’ami»
Duke Ellington (arr. Craig Terry)
«(In My) Solitude»
Louiguy (arr. Craig Terry)
«La Vie en rose»
Maxim Vengerov – Steven Isserlis – Simon Trpceski
Pour ce retour de Maxim Vengerov, nous avons réussi à élaborer un programme de musique de chambre exceptionnel réunissant le grand violoncelliste britannique Steven Isserlis et le pianiste macédonien Simon Trpčeski.
Ils joueront ensemble pour la première fois. Au programme, la sonate pour piano et violoncelle de Chostakovitch, la sonate pour violon et piano de Prokofiev et les trios de Rachmaninov et Chostakovitch. Ils nous convient à un concert aux teintes intimistes dans la chaleur de la belle salle du Victoria Hall.
Maxim Vengerov est universellement salué comme l'un des meilleurs musiciens au monde et considéré comme le plus grand violoniste vivant. Un des violoncellistes les plus réputés de sa génération, jouant avec les plus grands orchestres et les artistes les plus représentatifs de notre époque, Steven Isserlis est aussi un fervent défenseur de la musique de chambre. Simon Trpčeski a été propulsé sur le devant de la scène internationale par le BBC New Generation Artists en 2001. Depuis, il se produit sur les principales scènes musicales.
Orchestre Concertus Genève et Ensemble Vocal Orphée
«Requiem» et «Concerto pour clarinette» de Mozart
Matthieu Schweyer direction
Karine Mkrtchyan soprano
Carine Séchaye mezzo-soprano
Louis Zaitoun ténor
Lisandro Abadie basse
Damien Bachmann clarinette
Wolfgang Amadeus Mozart
Requiem, KV 626
Concerto pour clarinette, KV 622
OSR – Vive le swing!
Marc Leroy-Calatayud direction
Daniel Leveillé danseur de claquettes
Marc Perrenoud piano (artiste en résidence)
Morton Gould
Tap Dance Concerto
Marc Perrenoud
Concerto pour piano jazz et orchestre (commande OSR – première mondiale)
Toujours présent dans les comédies musicales classiques de Broadway, le numéro de claquettes (tap dance), si typique de la culture américaine, était un des moments préférés du public. Le compositeur Morton Gould aimait les alliages rares et incongrus. Après avoir composé une pièce pour rappeur (spoken word) et orchestre et une autre pour un groupe de pompiers chantant avec un orchestre, il écrit son Tap Dance Concerto en 1952 pour le danseur de claquettes Danny Daniels. C’est une charmante pièce néoclassique, mais redoutable pour le danseur devant s’exhiber non-stop pendant vingt minutes sur une partition précise ne lui laissant guère le loisir d’improviser ses pas.
Le pianiste Marc Perrenoud, notre artiste en résidence, a composé un Concerto pour piano jazz et orchestre à la demande de l’OSR spécialement pour le concert de ce matin.
Gautier Capuçon et les Capucelli
Gautier a deux facettes incontournables: d’une part, c’est un musicien talentueux à la technique parfaite et naturelle. D’autre part, c’est un grand professeur inspiré et passionné par le partage. Depuis quelques années, il enseigne une classe d’excellence de violoncelle à la Fondation LVMH à Paris. Il forme des étudiants exceptionnels et les aide à trouver leur propre cheminement de carrière. En complément à son cours de violoncelle, en témoignage de leur travail acharné, Gautier a trié sur le volet les six meilleurs élèves de ses premières années d’enseignement et a récemment enregistré un CD d’œuvres arrangées ou spécialement composées pour l’occasion, dont Bartók, Ravel, Bernstein, Villa Lobos, Sollima, Dessner et Connesson. Une partie du répertoire est également dédiée aux musiques de films ou de jeux vidéo, comme les thèmes de «Game of Thrones» ou «League of Legends», en espérant étendre l’accès et toucher de nouveaux publics et une jeune génération. La sortie du CD est prévue pour l’automne 2022.
Citation de Gautier lui-même: «Capucelli est un ensemble de violoncelles que j’ai créé pour jouer avec six de mes élèves de la ‘Classe d’excellence de violoncelle’ de la Fondation Louis Vuitton. Chacun d’eux vient d’une année différente et en tant qu’ensemble de violoncelles nous jouons ensemble depuis huit ans, chaque année pour célébrer ensemble la fin de la saison. C’est très émouvant pour moi de me souvenir de tous les beaux moments que j'ai passés avec eux et très émouvant de les voir maintenant au début de leur parcours professionnel et de partager la scène avec eux. Je suis très fier d’eux; nous avons vécu des moments de travail très intenses, ainsi que des rires et des sourires et nous serons heureux de nous revoir et de partager à nouveau la scène. Les morceaux que nous jouons sont tous issus de styles de musique différents: certains airs très classiques, d’autres issus d’esthétiques musicales différentes, pourrait-on dire, ainsi que des musiques commandées qui ont été écrites par des compositeurs contemporains spécialement pour nous et qui ont un lien très spécial avec moi et ce groupe.»
Daniel Barenboim
Reporté prochainementDaniel Barenboim piano
Ludwig van Beethoven
Sonate n° 30 en mi majeur, op. 109
Sonate n° 31 en la bémol majeur, op. 110
Sonate n° 32 en ut mineur, op. 111
Plácido Domingo
Orchestra Sinfonica G. Rossini
Frédéric Chaslin direction
Plácido Domingo ténor
Varduhi Khachatryan soprano
Hovhannes Ayvazyan ténor
Gioachino Rossini
Guillaume Tell, ouverture
Giuseppe Verdi
Macbeth, «Perfidi! All’anglo contro me v’unite!»
La forza del destino, «Pace, pace mio Dio!»
Macbeth, «Mal per me»
Otello, «Dio mi potevi scagliar»
Francesco Cilea
Adriana Lecouvreur, «Io son l’umile ancella»
Giuseppe Verdi
La forza del destino, «Invano Alvaro ti celasti al mondo»
Entracte
Pietro Mascagni
Cavalleria rusticana, intermezzo
Giacomo Puccini
Tosca, «Vissi d’arte»
Umberto Giordano
Andrea Chénier, «Nemico della patria»
Giacomo Puccini
Tosca, «Qual occhio al mondo»
Turandot, «Nessun dorma»
Vincenzo Bellini
Norma, «Casta Diva»
Giuseppe Verdi
Il Trovatore, «Udiste? come albeggi…»
Gli Angeli Genève, Philippe Herreweghe
Philippe Herreweghe direction
Sandrine Piau soprano
Lucile Richardot mezzo-soprano
Werner Güra ténor
Stephan MacLeod basse-baryton
Felix Mendelssohn
Elias
Musique Municipale de la Ville de Genève
OSR – BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
George Daugherty & David Ka Lik Wong création
George Daugherty direction
Warner Bros. présente
BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
Bugs Bunny, Daffy Duck, Elmer Fudd, Bip Bip et Coyote, Titi et Grosminet et leurs acolytes cabriolent à l’écran sur une musique exaltante de Carl Stalling et Milt Franklin, inspirée de Wagner, Rossini, J. Strauss, Liszt, Smetana, von Suppe, Mendelssohn, Ponchielli et Donizetti.
Pour accompagner ces fantastiques personnages du monde iconique des Looney Tunes de la Warner Bros., l’Orchestre de la Suisse Romande est placé sous la baguette de George Daugherty, l’un des concepteurs de ce ciné-concert acclamé depuis trente ans par la critique. Joué à guichets fermés à New York, au Hollywood Bowl… ce ciné-concert sera donné en première européenne par l’OSR.
LOONEY TUNES and all related characters and elements © & ™ Warner Bros. Entertainment Inc. (s22)
OSR – BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
George Daugherty & David Ka Lik Wong création
George Daugherty direction
Warner Bros. présente
BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
Bugs Bunny, Daffy Duck, Elmer Fudd, Bip Bip et Coyote, Titi et Grosminet et leurs acolytes cabriolent à l’écran sur une musique exaltante de Carl Stalling et Milt Franklin, inspirée de Wagner, Rossini, J. Strauss, Liszt, Smetana, von Suppe, Mendelssohn, Ponchielli et Donizetti.
Pour accompagner ces fantastiques personnages du monde iconique des Looney Tunes de la Warner Bros., l’Orchestre de la Suisse Romande est placé sous la baguette de George Daugherty, l’un des concepteurs de ce ciné-concert acclamé depuis trente ans par la critique. Joué à guichets fermés à New York, au Hollywood Bowl… ce ciné-concert sera donné en première européenne par l’OSR.
LOONEY TUNES and all related characters and elements © & ™ Warner Bros. Entertainment Inc. (s22)
OSR – BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
George Daugherty & David Ka Lik Wong création
George Daugherty direction
Warner Bros. présente
BUGS BUNNY AT THE SYMPHONY
Bugs Bunny, Daffy Duck, Elmer Fudd, Bip Bip et Coyote, Titi et Grosminet et leurs acolytes cabriolent à l’écran sur une musique exaltante de Carl Stalling et Milt Franklin, inspirée de Wagner, Rossini, J. Strauss, Liszt, Smetana, von Suppe, Mendelssohn, Ponchielli et Donizetti.
Pour accompagner ces fantastiques personnages du monde iconique des Looney Tunes de la Warner Bros., l’Orchestre de la Suisse Romande est placé sous la baguette de George Daugherty, l’un des concepteurs de ce ciné-concert acclamé depuis trente ans par la critique. Joué à guichets fermés à New York, au Hollywood Bowl… ce ciné-concert sera donné en première européenne par l’OSR.
LOONEY TUNES and all related characters and elements © & ™ Warner Bros. Entertainment Inc. (s22)
Seiji Ozawa International Academy Switzerland, Kazuki Yamada
Kazuki Yamada direction
Mouvements de quatuors à cordes de Beethoven, Schubert, Haydn, Debussy et Bartók
Richard Strauss
Métamorphoses
Caetano Veloso (BR)
Depuis trente ans, ce chanteur compositeur, beau, élégant, romantique, affiche complet dans les salles du monde entier. Si fin et si distingué qu’il renouvelle le genre du latin lover en le féminisant, en lui ôtant la moustache et la faconde gouailleuse, en lui donnant des ailes claires. Le voir sur scène est une expérience sensuelle et fascinante. C’est sans doute pour cela que tous ses concerts commencent dans un tonnerre d’applaudissements stratosphériques. Si rare que c’est déjà une expérience en soi!
https://youtu.be/jZpQGOtVqrY
CAETANO VELOSO
Reconnu mais mal connu, Caetano Veloso n’a pas un destin simple, et son évolution se situe aux antipodes d’une carrière de star. Fondateur de mouvement, agitateur, ambigu, décalé… Il a vécu mille vies en une seule. Il a participé à l’histoire du Brésil, à travers la contestation et la création. Acteur politique, provocateur inlassable, musicien, il est aussi critique de cinéma, spécialiste de Godard, de Fellini et, bien sûr, de Glauber Rocha, disciple de João Gilberto, théoricien, philosophe, compagnon de combat et d’incarcération de Gilberto Gil, exilé… Syncrétique, sa musique flirte non seulement avec des styles étrangers mais aussi avec des rythmes folkloriques brésiliens à moitié oubliés qui célèbrent la culture afro-brésilienne.
Portes 19:00
Tram/bus
Lignes 1, 2, 3, 7, 10, 12, 15, 17, 18, 19 et 35 – arrêt Cirque
Lignes 18 et 36 – arrêt Place de Neuve
Voiture
Merci de privilégier le covoiturage.
Parking Plainpalais ou parking David-Dufour.
Accessibilité
Le Victoria Hall est accessible aux personnes à mobilité réduite.
Retrouvez l’ensemble des conditions d’admission de la salle sur www.culture-accessible.ch
Bar et petite restauration
Tarifs
Plein tarif
Sofiane Pamart
Le Chat Noir et TCO Prod présentent Sofiane Pamart en concert au Victoria Hall!
Après un long parcours au conservatoire de musique classique de Lille et des études en musicologie, le pianiste Sofiane Pamart se familiarise avec le rap français en proposant des collaborations originales alliant musique urbaine et musique classique. Avec son groupe Rapsodie, il met en lumière les œuvres des rappeurs en créant des versions instrumentales de leurs titres.
Personnage hors du commun, Sofiane Pamart enchaîne les scènes prestigieuses en solo depuis 2019. La salle Pleyel qualifie son travail d’œuvre «ténébreuse et poétique», incarnant une musique d’une «justesse émotionnelle» qui rend sa «grande œuvre accessible à tous».
Considéré comme un musicien unique, un pianiste haute couture avec une mentalité et une image de rappeur, il n’en oublie pas ses inspirations profondes telles que Chopin, Ravel et Debussy, et propose des compositions entre la grande musique de film et les récits d’aventures.
Héritier cosmopolite des maîtres précédents, outre son premier amour pour le classique, on retrouve dans l’œuvre de Sofiane Pamart des saveurs multiples. Une invitation au voyage, hors des sentiers battus, mais où l’on croise parfois les traces d’Astor Piazzolla, Yann Tiersen, Shigeru Umebayashi ou même Scott Storch.
Un artiste à venir découvrir d’urgence s’il n’a pas encore croisé votre chemin!