L’Orchestre du Collège de Genève et l’Orchestre de la Suisse Romande dirigé par Philippe Béran vous invitent au Bal du Nouvel An
Philippe Béran direction & présentation
Orchestre du Collège de Genève
Johann Strauss
Kaiserwalzer, op. 437
Dmitri Chostakovitch
Suite n° 2 pour orchestre de jazz
Aram Khatchaturian
Gayaneh, «Danse du sabre»
John Kander
Chicago Medley, musique du film
John Williams
Les aventuriers de l’arche perdue, «Marche»
Johann Strauss
Tritsch-Tratsch-Polka, op. 214
Vous voici transportés au beau milieu du plus chic des bals du Nouvel An! Sous la baguette magique du maestro Philippe Béran, l’OSR et l’Orchestre du Collège de Genève vous offrent un concert aux mille éclats dansants! Soyez prêts à être émerveillés et à vous dandiner comme jamais dans les fauteuils du Victoria Hall!
The Best of Ennio Morricone
80 solistes, chanteurs et musiciens du Milano Festival Opera, dirigés par: Marco Seco/Marcin Wolniewski
Le célèbre musicien oscarisé Ennio Morricone est considéré comme l’un des compositeurs les plus prolifiques de l’histoire de la musique de film; il a écrit plus de 500 musiques pour le cinéma et la télévision et créé des œuvres légendaires.
Son dernier Oscar lui a été décerné en février 2016 pour Les 8 Salopards de Tarantino. Il y a près de cinquante ans, Morricone a été immortalisé avec la musique qu’il a écrite pour le film Il était une fois dans l’Ouest. Des compositions comme le classique du genre «western-spaghetti» Le Bon, la Brute et le Truand, la musique du drame Mission de Roland Joffé et celle de Cinema Paradiso de Giuseppe Tornatore sont particulièrement célèbres.
Les fans de Morricone pourront entendre ses œuvres inoubliables en live dans diverses villes suisses. Quatre-vingts musiciens et chanteurs du Milano Festival Opera, placés sous la direction du célèbre chef d’orchestre Marco Seco, se produiront sur scène et redonneront ainsi vie à la musique captivante de Morricone.
Kit Armstrong & Ensemble
Kit Armstrong piano
Andrej Bielow violon
Amihai Grosz alto
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie concertante pour violon et alto en mi bémol majeur, K. 364
Concerto pour piano en la majeur, K. 488
Concerto pour piano en ut majeur, K. 467
****
Dès 22h00 Late Night offerte
«Eine Kleine Nachtmusik»…
(Sur réservation dès le 26 août)
B’Rock Orchestra
Alexander Melnikov direction et piano
The Listeners Academy
Ludwig van Beethoven
Présentation de l’œuvre et Concerto pour piano nº 1 en ut majeur, op. 15
S’inspirant de la méthode pédagogique de Leonard Bernstein, Alexandre Melnikov et le B’Rock Orchestra vous présentent leur vision et interprétation du Concerto pour piano n° 1 de Beethoven, le tout dans une mise en scène théâtrale qui attise la curiosité.
OSR: Concert exceptionnel qui mettra à l’honneur Yo-Yo Ma au violoncelle et Renaud Capuçon qui dirigera l’Orchestre de Chambre de Lausanne
Renaud Capuçon direction
Yo-Yo Ma violoncelle
Orchestre de Chambre de Lausanne
Robert Schumann
Concerto pour violoncelle et orchestre en la mineur, op. 129
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, op. 55, dite «Héroïque»
L’avènement de la pratique historique a permis aux petites formations, comme l’Orchestre de Chambre de Lausanne que nous recevons chaque saison, d’envisager un répertoire qui leur était jusque-là interdit. Plus personne ne s’étonne aujourd’hui d’entendre la Symphonie «Héroïque» de Beethoven jouée par une quarantaine de musiciens, un effectif proche de celui de sa création à Vienne en 1805. L’heure n’est plus au gigantisme et les fines textures de Beethoven gagnent en lisibilité ce qu’elles perdent en épaisseur. La conception très chambriste qu’a Yo-Yo Ma du Concerto pour violoncelle de Robert Schumann prendra aussi toute sa valeur avec un tel effectif. Encouragé par Pablo Casals alors qu’il n’était encore qu’un enfant précoce, le grand violoncelliste sino-franco-américain est un des musiciens les plus connus et les plus aimés de la planète.
L’Orchestre Philharmonique de la Paix. Nikolay Khozyainov, direction & piano
Orchestre Philharmonique de la Paix
Nikolay Khozyainov direction & piano
Wolfgang Amadeus Mozart
Les Noces de Figaro, K. 492. Ouverture
Wolfgang Amadeus Mozart
Concerto pour piano n° 21 en ut majeur, K. 467
I. Allegro maestoso
II. Andante
III. Allegro vivace assai
Orchestre Philharmonique de la Paix
Nikolay Khozyainov direction
Vassili Kalinnikov
Symphonie n° 1 en sol mineur (1895)
I. Allegro moderato
II. Andante commodamente
III. Scherzo
IV. Finale: Allegro moderato
Basé à Genève, la ville de la paix, l’Orchestre Philharmonique de la Paix est un ensemble de musiciens passionnés, dévoués à la création d’un monde où la musique et la beauté règnent suprêmement. Nous croyons de tout cœur qu’à travers nos concerts nous avons le pouvoir d’unir les gens, de tisser des ponts d’harmonie et de développer un sentiment de solidarité entre tous.
Transcendant les frontières de nationalité, de langue et d’origine, la musique est la force la plus puissante pour rassembler l’humanité. Elle est la lumière ultime de la paix, elle touche directement nos cœurs et nos âmes, apaisant les conflits et célébrant la joie.
Notre musique est une invitation à faire l’expérience du pouvoir transformateur de la musique. Nous nous considérons comme des ambassadeurs de la paix. À travers chaque note jouée et chaque mélodie partagée, nous voulons inspirer notre public à envisager un monde meilleur.
Lorsque nous nous produisons à Genève et dans le monde, notre objectif est de créer des moments inoubliables, d’unir les gens dans une expérience partagée de beauté et d’harmonie.
www.peacephilharmonic.org
Nikolay Khozyainov
Pianiste, compositeur, chef d’orchestre
«Le monde de la musique prend note de la virtuosité étonnante et de la technique prodigieuse de Nikolay Khozyainov» – The New York Times
Pianiste, compositeur et chef d’orchestre, Nikolay Khozyainov est un des musiciens les plus remarquables. Sa musicalité poétique et sa technique époustouflante ont séduit les publics du monde entier.
À l’âge de 6 ans, Khozyainov a déjà débuté avec l’Orchestre philharmonique de Moscou. À l’âge de 7 ans, il fait ses débuts à Munich et Francfort, à l’âge de 9 ans au Théâtre des Champs-Élysées à Paris, à l’âge de 16 ans aux États-Unis et à l’âge de 17 ans aux Nations Unies.
Depuis lors, il donne des récitals et des concerts sur toutes les plus grandes scènes du monde, telles que le Carnegie Hall et le Lincoln Center à New York, le Kennedy Center à Washington, Wigmore Hall à Londres, le Louvre et le Théâtre des Champs-Élysées à Paris, le Tchaikovsky Hall à Moscou, le Suntory Hall de Tokyo, l’Opéra de Sydney, la Tonhalle de Zurich, le Palazzo Quirinale de Rome, l’Auditorio Nacional de Madrid, le Victoria Hall à Genève, les Nations Unies et beaucoup d’autres.
Khozyainov se produit avec l’Orchestre London Philharmonia, l’Orchestre symphonique de Tokyo, l’Orchestre symphonique de Sydney, l’Orchestre philharmonique de Varsovie, l’Orchestre symphonique national tchèque, l’Orchestre symphonique de la Fédération de Russie, l’Orchestre philharmonique russe, l’Orchestre symphonique Yomiuri Nippon, l’Orchestre symphonique national RTE d’Irlande, entre autres.
Il est diplômé du Conservatoire de Moscou, où il a reçu la médaille d’or en tant que pianiste et chef d’orchestre.
Il est titulaire d’un diplôme d’études approfondies à la Hannover Hochschule für Music en Allemagne.
En 2012, il remporte le Premier Prix du Concours international de Dublin.
Nikolay Khozyainov a été honoré par de nombreux chefs d’État. Il a été nommé Chevalier Commandeur par la famille royale d’Espagne en 2022. Khozyainov a été décoré par l’empereur Akihito et l’impératrice Michiko du Japon à son concert au Suntory Hall à Tokyo.
En 2022 les Nations Unies ont commandé à Nikolay Khozyainov la composition d’une pièce pour la paix. Nikolay a donné la première mondiale de «Pétales de la Paix» lors de son Concert pour la Paix à la Salle des Droits de l’homme des Nations Unies en novembre 2022, suivie de la première américaine en octobre 2023 au Herbst Theatre à San Francisco (où la Charte des Nations Unies a été signée).
Nikolay Khozyainov a été décoré de la Médaille d’or de la Paix des Nations Unies.
Sa musique est éditée par Muse Press à Tokyo, Japon.
«La dernière pièce a laissé le public en redemander» – Andrew Larkin, Dublin Review
www.nikolaykhozyainov.com
Distinctions
- Médaille d’or de la Paix des Nations Unies, 2022
- Nommé Chevalier Commandeur par la famille royale d'Espagne, 2022
- Honoré par l’empereur Akihito et l’impératrice Michiko du Japon à Tokyo, 2018
- Médaille d’or du Conservatoire Tchaïkovski de Moscou, 2015
- Premier prix du Concours international de piano de Dublin, 2012
- Nommé vice-président du Cercle des Amitiés internationales, Genève. Fondé en 1920
Werther – L’Orchestre de Chambre de Genève
Étudiant·e·s de la Haute école de musique de Genève & Neuchâtel
Maîtrise du Conservatoire populaire
Marc Leroy-Calatayud direction
Pene Pati Werther
Adèle Charvet Charlotte
Florian Sempey Albert
Florie Valiquette Sophie
Jules Massenet
Werther, opéra en 4 actes, version de concert
Sous la baguette familière et rassembleuse de Marc Leroy-Calatayud, la mezzo-soprano Adèle Charvet et le ténor Pene Pati chanteront pour la première fois le chef-d’œuvre de Massenet, expression opératique poignante de l’amour absolu dont seule la mort peut guérir la blessure.
Ah ! Comme on attend avec impatience de voir, avec ces deux artistes lumineux, se dessiner les ombres de l’ambivalence terrible entre devoir et passion qui animent Charlotte, et le bouleversant amour sans limite et sans concession qui s’empare de Werther.
Préparez les mouchoirs !
Rodrigo Leão
Découvrez Rodrigo Leão en concert: un voyage musical inoubliable
Le compositeur portugais Rodrigo Leão est l’un des artistes les plus fascinants et prolifiques de la scène musicale actuelle. Connu pour sa capacité à créer des œuvres envoûtantes qui transcendent les frontières des genres, Leão a su captiver les mélomanes du monde entier avec ses compositions mêlant musique classique, électronique, et cinématique.
Un compositeur de génie
Rodrigo Leão a d’abord acquis une renommée internationale en tant que membre fondateur de deux groupes cultes portugais, Madredeus et Sétima Legião, avant de se lancer dans une carrière solo qui l’a mené vers des sommets inédits. À travers ses créations, il sait évoquer des paysages sonores où l’émotion et la beauté occupent une place centrale. Chaque note est un appel à l’évasion, chaque composition une porte ouverte vers l’imaginaire.
Ses œuvres, souvent instrumentales, oscillent entre la mélancolie douce et la puissance émotionnelle, créant des atmosphères qui touchent au plus profond de l’âme. La musique de Rodrigo Leão est faite de contrastes délicats, où la douceur des cordes se mêle à des éléments électroniques subtils, et où la force des orchestrations côtoie des moments de silence méditatif.
Un voyage à travers les émotions
Rodrigo Leão ne se contente pas de créer de la musique; il crée des univers entiers, où chaque morceau raconte une histoire unique. Ses concerts ne sont pas de simples performances, mais des voyages émotionnels, des instants suspendus dans le temps où les spectateurs sont transportés par la beauté et l’intensité de ses compositions.
En concert, son répertoire prend une toute nouvelle dimension. Entouré de musiciens talentueux, Leão tisse des toiles sonores captivantes, dans lesquelles le public est invité à plonger. L’atmosphère intimiste qu’il parvient à instaurer, même dans les plus grandes salles, fait de chaque représentation une expérience unique et personnelle.
Un artiste au rayonnement international
Depuis plus de deux décennies, Rodrigo Leão a su conquérir un public international, grâce à des collaborations avec des artistes de renommée mondiale tels que Beth Gibbons (Portishead), Ryuichi Sakamoto ou encore L’Haçienda Classical. Son talent à mêler des influences diverses tout en gardant une identité musicale profondément personnelle lui a valu des éloges à travers le monde.
Un concert à ne pas manquer
Préparez-vous à être transporté dans un monde où chaque morceau est une nouvelle aventure, une émotion à vivre intensément. Ce concert est l’occasion parfaite pour les amateurs de musique de tous horizons de découvrir ou redécouvrir un artiste dont l’œuvre reste intemporelle.
Que vous soyez un fan de longue date ou un néophyte, le concert de Rodrigo Leão promet d’être une expérience inoubliable, un moment suspendu dans le temps où la musique vous parlera d’émotions profondes, de voyages intérieurs et de beauté pure.
Pourquoi faut-il absolument venir?
Rodrigo Leão est bien plus qu’un simple compositeur. C’est un artiste capable de traduire en musique des émotions que les mots peinent à exprimer. Assister à l’un de ses concerts, c’est vivre une expérience unique, un moment de communion musicale qui vous touchera au cœur. Ses compositions, empreintes de grâce et de subtilité, sont une invitation à se perdre dans l’harmonie et à s’abandonner aux émotions.
Si vous êtes en quête de moments où la musique parvient à transcender la réalité, où chaque note raconte une histoire, ce concert est pour vous. Rodrigo Leão et ses musiciens vous feront vivre une soirée où la magie de la musique prend tout son sens.
L’Orchestre de la Suisse Romande et Jonathan Nott jouent Debussy et Stravinski accompagnés par Midori dans le Concerto pour violon de Sibelius
Jonathan Nott direction
Midori violon
Claude Debussy
Clair de lune (arrangement André Caplet)
Igor Stravinski
Le Sacre du printemps, tableaux de la Russie païenne en deux parties
Jean Sibelius
Concerto pour violon et orchestre en ré mineur, op. 47
Partir en tournée avec Le Sacre du printemps dans ses bagages sous-entend d’emmener l’OSR au grand complet pour une œuvre exigeant un effectif pléthorique auquel le compositeur ne reviendra plus jamais. Cent vingt musiciens, c’est à peu près ce qu’exige cette fabuleuse partition terminée à Clarens où Stravinski et Ernest Ansermet sont voisins. Créé à Berlin sous la direction de Richard Strauss, le Concerto pour violon de Jean Sibelius est devenu un des chevaux de bataille de tous les violonistes. Par son extrême difficulté, la beauté de ses mélodies et son évocation des grands espaces, il est devenu extrêmement populaire. C’est cette œuvre que Midori joua à l’âge de 11 ans pour ses débuts à New York sous la direction de Zubin Mehta. Probablement inspiré par le Clair de lune de Verlaine, Debussy compose sa célèbre pièce à l’orée du 20e siècle. C’est André Caplet qui en a réalisé la subtile orchestration jouée ce soir.
L’Orchestre de la Suisse Romande et Jonathan Nott jouent Debussy et Stravinski accompagnés par Midori dans le Concerto pour violon de Sibelius
Jonathan Nott direction
Midori violon
Claude Debussy
Clair de lune (arrangement André Caplet)
Igor Stravinski
Le Sacre du printemps, tableaux de la Russie païenne en deux parties
Jean Sibelius
Concerto pour violon et orchestre en ré mineur, op. 47
Partir en tournée avec Le Sacre du printemps dans ses bagages sous-entend d’emmener l’OSR au grand complet pour une œuvre exigeant un effectif pléthorique auquel le compositeur ne reviendra plus jamais. Cent vingt musiciens, c’est à peu près ce qu’exige cette fabuleuse partition terminée à Clarens où Stravinski et Ernest Ansermet sont voisins. Créé à Berlin sous la direction de Richard Strauss, le Concerto pour violon de Jean Sibelius est devenu un des chevaux de bataille de tous les violonistes. Par son extrême difficulté, la beauté de ses mélodies et son évocation des grands espaces, il est devenu extrêmement populaire. C’est cette œuvre que Midori joua à l’âge de 11 ans pour ses débuts à New York sous la direction de Zubin Mehta. Probablement inspiré par le Clair de lune de Verlaine, Debussy compose sa célèbre pièce à l’orée du 20e siècle. C’est André Caplet qui en a réalisé la subtile orchestration jouée ce soir.
Rafał Blechacz, piano
Rafał Blechacz piano
Franz Schubert
Quatre Impromptus, op. 90, D. 899
Ludwig van Beethoven
Sonate n° 14 en ut dièse mineur, op. 27 n° 2 «Clair de lune»
Frédéric Chopin
Barcarolle en fa dièse majeur, op. 60
Trois Mazurkas, op. 50
Ballade n° 3 en la bémol majeur, op. 47
Scherzo n° 3 en ut mineur, op. 39
Concertos de Brahms – L’Orchestre de Chambre de Genève
Gábor Takács-Nagy direction
Alexandre Kantorow piano
Johannes Brahms
Concerto pour piano n° 1 en ré mineur, op. 15
Concerto pour piano n° 2 en si bémol majeur, op. 83
Gábor Takács-Nagy accueille l’incroyable Alexandre Kantorow qui n’en finit pas d’estomaquer toutes celles et ceux qui l’entendent. Pianiste parmi les plus prodigieux de notre époque, il avait marqué la mémoire de L’OCG lors de sa venue il y a deux saisons pour jouer le Concerto pour piano n° 2 de Franz Liszt. Un seul concerto est déjà un sommet à gravir, exigeant puissance, virtuosité, sensibilité et endurance. Ce soir, ce n’est pas un, mais deux concertos qu’il joue.
Une soirée aux sommets !
24 études de concert de Liszt
Traverser le cours de la vie avec la musique: Wu Muye et le voyage transcendant de Liszt
Ce soir, Wu Muye présentera un festin musical extraordinaire au public dans la première de la tournée mondiale «24 liszt’s études de concert». Ce n’est pas seulement l’ultime démonstration d’habileté et d’art, mais aussi une expression affectueuse de force et de foi. Il interprète avec de la musique. La philosophie selon laquelle «l’équilibre et le destin sont deux chemins, et les profondeurs de la musique révèlent le monde» interprète le destin de la vie avec le bout des doigts, qui injecte la puissance du temps et de l’espace dans le cœur de chaque auditeur.
Wu Muye
Le public chinois a tendance à dépeindre les pianistes comme des virtuoses qui ne font qu’exhiber leurs talents de pianiste, jusqu’à ce que Wu Muye brise ce stéréotype avec ses techniques ingénieuses, sa sophistication musicale et son charisme personnel – tout ce que l’on peut attendre d’un pianiste. Les médias préfèrent le qualifier de «doigt d’or» du piano (proposé pour la première fois par le journal français Le Monde), tandis que le public préfère le qualifier de «poète du piano».
Le jeu de Wu Muye est un équilibre entre habileté et émotion, entre retenue et liberté, rationalité et émotion, intuition et romance, et c’est la plus grande poésie que la musique classique lui ait donné. Sa technique extraordinaire et son expression musicale lui ont valu les éloges du monde de la musique européenne, et les médias chinois faisant autorité, le quotidien du peuple, l’ont également fortement affirmé.
Dans la tournée de 2025, Wu Muye défiera les 24 études les plus difficiles de Liszt. Ce n’est pas seulement une compétition technique, mais aussi une épreuve de force qui allie parfaitement art et vitesse, puissance et délicatesse.
Programme
十二首超技练习曲
Douze études d’exécution transcendante, S. 139
Preludio – 前奏曲
Molto Vivace – 非常快的快板
Paysage – 风景
Mazeppa – 马捷帕
Feux Follets – 鬼火
Vision – 幻影
Eroica – 英雄
Wilde Jagd – 狩猎
Ricordanza – 回忆
Allegro Agitato Molto – 激动的快板
Harmonies du soir – 黄昏的和谐
Chasse-neige – 追雪
三首音乐会练习曲
Trois études de concert, S. 144
Il Lamento – 悲歌
La Leggierezza – 轻盈
Un Sospiro – 叹息
高级练习曲“愤怒”
Ab Irato, Grande étude de perfectionnement, S. 143
两首音乐会练习曲
Zwei Konzertetüden, S. 145
Waldesrauschen – 森林的呼啸
Gnomenreigen – 侏儒之舞
帕格尼尼大练习曲
Grandes études de Paganini, S. 141
Preludio – 前奏曲
Andante – 行板
La Campanella – 钟
La Chasse – 狩猎
Allegretto – 小快板
Quasi Presto – 急板
Les Concerts du dimanche présentent l'Orchestre de Chambre de Genève et Glass Marcano
Glass Marcano, direction
Johannes Brahms Variations sur un thème de Haydn
Maurice Ravel Tombeau de Couperin
Maurice Ravel Pavane pour une infante défunte
Miguel Vicente Garrido Chocoanita
De la surface aux profondeurs, Glass Marcano n’a pas d’équivalent. Elle le dit sans ambages : « je viens du Venezuela, je suis une femme, je suis noire », avant d’ajouter « c’est super cool ! », révélant un peu de ce qui fait d’elle l’un des coups de cœur les plus forts de l’Orchestre de Chambre de Genève ces dernières années, : un enthousiasme renversant, communicatif, réjouissant. Révélée au concours la Maestria en 2020 après une arrivée en France rocambolesque et deux nuits sans sommeil, Glass Marcano n’ordonne rien, elle inspire, avec une corporalité sans pareille. Si la joie finit toujours par l’emporter, ce concert s’inscrit sous le signe de la tendresse et de la délicatesse de ces grands orchestrateurs qu’ont été Brahms et Ravel, et l’intime mélancolie de Miguel Vicente Garrido.
Concert Relax
Les Concerts du dimanche proposent une sortie Relax pour ce concert. La mesure Relax a pour but de créer un environnement bienveillant où chacun et chacune peut exister tel-le qu’il ou elle est. Elle est destinée aux personnes en situation de handicap et/ou ayant besoin d’un accueil approprié, et propose un environnement d’écoute adapté pour les personnes anxieuses.
Mayra Andrade – Festival Antigel
Brillante, inclassable et toujours pertinente, la chanteuse cap-verdienne confronte le cosmopolitisme des genres musicaux avec une énergie unique.
Quelque part entre Paris, Lisbonne, Abidjan et Praia, Mayra Andrade puise son inspiration dans la richesse de ses rencontres aux quatre coins du monde. Entre sensualité afro, pop tropicale et dernières innovations de la production urbaine, la chanteuse trace des passerelles musicales inédites. Une véritable aventurière du métissage sonore au sourire étincelant, qui présentera un concert exceptionnel dans l’écrin magique du Victoria Hall.
Portes: 19h.
Début: 20h.
Tarifs:
- Plein tarif: CHF 49.-
- Tarif réduit: CHF 44.-
- Tarif jeune: CHF 35.-
- Tarif 20 ans 20 francs: CHF 28.-
- Tarif festivalier.ère: CHF 20.-
Pink Floyd Symphonique – Festival Antigel
Attention événement: le Victoria Hall accueille Us and Them: Symphonic Pink Floyd. Ni plus ni moins que l’œuvre des Pink Floyd, réarrangée pour orchestre symphonique. Frissons garantis!
Pour cet événement de prestige, Antigel s’associe à l’Orchestre de la Suisse Romande à l’occasion d'un concert unique dans le temple de la musique classique genevoise. Cet arrangement de Pink Floyd pour ensemble symphonique est l’œuvre du génial Jaz Coleman (ex de Killing Joke), initialement enregistrée aux côtés du Philharmonique de Londres. Une adaptation magistrale, réalisée dans le respect de l’œuvre originale. L’un des seuls albums classiques à avoir atteint les sommets du classement Billboard dès sa sortie!
Portes: 19h.
Début: 20h.
Tarifs:
- Catégorie 1: CHF 79.-
- Catégorie 2: CHF 69.-
- Catégorie 3: CHF 49.-
Philip Glass «Music in Twelve Parts» – Festival Antigel
The Philip Glass Ensemble
Michael Riesman music director, keyboard
Lisa Bielawa voice, keyboard
Dan Bora sound
Peter Hess alto and tenor saxophone
Ryan Kelly onstage sound
Mick Rossi keyboard
Sam Sadigursky soprano saxophone, flute
Andrew Sterman flute, piccolo, soprano saxophone
Michael Amacio Production Manager
Andrew Sterman PGE manager
Philip Glass, légende vivante de la musique contemporaine, a redéfini les frontières musicales. Le Philip Glass Ensemble, fondé par l’artiste, relèvera le défi de jouer Music in Twelve Parts en intégralité lors d’une soirée unique et mémorable.
Philip Glass, pionnier du minimalisme, a transformé la musique contemporaine en effaçant les frontières entre populaire et savant. Avec Music in Twelve Parts, condensé de ses techniques répétitives des années 60-70, il propose une œuvre théorique et émotive, modulable et novatrice. Ses boucles hypnotiques marquent durablement la scène chorégraphique et cinématographique, faisant de lui une influence majeure pour des artistes variés, de Radiohead à Nils Frahm. Une soirée unique pour redécouvrir une œuvre qui a marqué l’histoire de la musique contemporaine.
Plongez dans un voyage musical de 3h30 entrecoupé de plusieurs entractes.
La durée totale de l’événement est de cinq heures et le concert se terminera aux alentours de 23h.
Si vous le souhaitez, un en-cas du terroir sera proposé à la vente pendant l’entracte principal d’une heure.
Portes: 17h.
Début: 18h.
Tarifs:
- Catégorie 1: CHF 79.-
- Catégorie 2: CHF 69.-
- Catégorie 3: CHF 49.-
Vivaldi – Les Quatre Saisons: Alexandra Conunova, violon, et Gloria
Orchestre Concertus
Ensemble Vocal Orphée Genève
Matthieu Schweyer, direction
Matthieu Schweyer direction
Antonio Vivaldi
Les Quatre Saisons
Alexandra Conunova violon
Gloria
Karine Mkrtchyan soprano
Armine Mkrtchyan soprano
Orchestre Concertus
Ensemble Vocal Orphée Genève
L’OSR dirigé par Vasily Petrenko sera accompagné par Kian Soltani dans la Sinfonia concertante pour violoncelle de Prokofiev
Vasily Petrenko direction
Kian Soltani violoncelle
Serge Prokofiev
Sinfonia concertante, pour violoncelle et orchestre, op. 125
Johannes Brahms
Symphonie n° 1 en ut mineur, op. 68
Violemment condamné par les censeurs soviétiques pour cause d’avant-gardisme en 1938, le Concerto pour violoncelle de Prokofiev sera profondément remanié, et assagi, une quinzaine d’années plus tard sous la forme d’une Sinfonia concertante destinée au jeune Rostropovitch qui va dès lors l’imposer. L’œuvre sera moins agressive et la partie de violoncelle gagnera en lyrisme. Brahms aimait la Suisse au point de la considérer comme une seconde patrie qu’il a parcourue pendant trente ans. Il a composé plusieurs œuvres dans notre pays et l’on entend très nettement l’écho d’un «Ranz des vaches», probablement noté lors de ses promenades alpestres, dans le finale de sa Première Symphonie, juste avant le thème à peine transformé de l’Ode à la joie de Beethoven. Mais ce ne sont pas les seuls attraits de cette œuvre qui est déjà du pur Brahms par sa générosité et son ampleur.
L’OSR dirigé par Vasily Petrenko sera accompagné par Kian Soltani dans la Sinfonia concertante pour violoncelle de Prokofiev
Vasily Petrenko direction
Kian Soltani violoncelle
Serge Prokofiev
Sinfonia concertante, pour violoncelle et orchestre, op. 125
Johannes Brahms
Symphonie n° 1 en ut mineur, op. 68
Violemment condamné par les censeurs soviétiques pour cause d’avant-gardisme en 1938, le Concerto pour violoncelle de Prokofiev sera profondément remanié, et assagi, une quinzaine d’années plus tard sous la forme d’une Sinfonia concertante destinée au jeune Rostropovitch qui va dès lors l’imposer. L’œuvre sera moins agressive et la partie de violoncelle gagnera en lyrisme. Brahms aimait la Suisse au point de la considérer comme une seconde patrie qu’il a parcourue pendant trente ans. Il a composé plusieurs œuvres dans notre pays et l’on entend très nettement l’écho d’un «Ranz des vaches», probablement noté lors de ses promenades alpestres, dans le finale de sa Première Symphonie, juste avant le thème à peine transformé de l’Ode à la joie de Beethoven. Mais ce ne sont pas les seuls attraits de cette œuvre qui est déjà du pur Brahms par sa générosité et son ampleur.
L’OSR dirigé par Vasily Petrenko sera accompagné par Kian Soltani dans la Sinfonia concertante pour violoncelle de Prokofiev
Vasily Petrenko direction
Kian Soltani violoncelle
Serge Prokofiev
Sinfonia concertante, pour violoncelle et orchestre, op. 125
Johannes Brahms
Symphonie n° 1 en ut mineur, op. 68
Violemment condamné par les censeurs soviétiques pour cause d’avant-gardisme en 1938, le Concerto pour violoncelle de Prokofiev sera profondément remanié, et assagi, une quinzaine d’années plus tard sous la forme d’une Sinfonia concertante destinée au jeune Rostropovitch qui va dès lors l’imposer. L’œuvre sera moins agressive et la partie de violoncelle gagnera en lyrisme. Brahms aimait la Suisse au point de la considérer comme une seconde patrie qu’il a parcourue pendant trente ans. Il a composé plusieurs œuvres dans notre pays et l’on entend très nettement l’écho d’un «Ranz des vaches», probablement noté lors de ses promenades alpestres, dans le finale de sa Première Symphonie, juste avant le thème à peine transformé de l’Ode à la joie de Beethoven. Mais ce ne sont pas les seuls attraits de cette œuvre qui est déjà du pur Brahms par sa générosité et son ampleur.
Orchestre des Nations
Antoine Marguier direction
Clarissa Bevilacqua* et Élise Bertrand* violon
Aida Pascu* et Laura Andres soprano
Karolina Ferencz mezzo-soprano
Joseph Zeinstra et Oscar Esmerode ténor
Benoît Capt basse
Nour Ayadi* piano
Chœur Universitaire de Lausanne
Fruzsina Szuromi direction
*artistes Classeek
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Roméo et Juliette, ouverture fantaisie
Max Bruch
Concerto pour violon
Georg Friedrich Haendel
Dixit Dominus, extraits
Szőnyi Erzsébet
Ima alkonyi harangszóra
Amy Beach
3 réponses pour chœur, op. 8
Élise Bertrand
Les Traversées.7
Ludwig van Beethoven
Fantaisie en chorale, op. 80
West-Eastern Divan Orchestra
Zubin Mehta, direction
Clara-Jumi Kang, violon
Zubin Mehta direction
Clara-Jumi Kang violon
Carl Maria von Weber
Ouverture d’Oberon
Jean Sibelius
Concerto pour violon en ré mineur
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Symphonie n° 4 en fa mineur, op. 36
Evgeny Kissin, piano
Evgeny Kissin piano
Johann Sebastian Bach
Partita n° 2 en ut mineur, BWV 826
Frédéric Chopin
Nocturnes en dièse mineur, op. 27 n° 1; en la bémol majeur, op. 32 n° 2
Scherzo n° 4 en mi majeur, op. 54
Dmitri Chostakovitch
Sonate n° 2 en si mineur, op. 61
Préludes et Fugues, op. 87, n° 15 en ré bémol majeur; n° 24 en ré mineur
Ravel – Récital de piano à l’occasion des 150 ans du compositeur
Vernissage du coffret intégral par François-Xavier Poizat
François-Xavier Poizat piano
Maurice Ravel
Samara Joy, vocals & band
À seulement 24 ans, Samara Joy a déjà conquis le cœur du monde de la musique et s’est imposée comme une révélation du jazz vocal avec son album Linger Awhile, récompensé par un GRAMMY. Son intonation impeccable, son phrasé merveilleux et son dynamisme rythmique lui ont valu non seulement d’être comparée à des légendes du jazz comme Ella Fitzgerald, mais aussi de recevoir deux Grammy Awards pour le meilleur nouvel artiste et pour le meilleur album de jazz. Ses concerts sont une fusion unique de sentiment classique et de flair moderne, présentés par sa voix unique et son rayonnement charismatique. Des classiques intemporels comme Misty apparaissent sous une forme totalement inconnue, réinterprétés avec une énergie fraîche et une perspective moderne. Ne manquez pas cette opportunité et venez découvrir Samara Joy, le lumineux futur du jazz vocal, en concert, le 12 mars 2025 au Victoria Hall de Genève.
Ivo Pogorelich
Ivo Pogorelich piano
Wolfgang Amadeus Mozart
Adagio en si mineur, K. 540
Fantaisie en do mineur, K. 475
Fantaisie en ré mineur, K. 397
Sonate n° 11 en la majeur, K. 331
Frédéric François Chopin
Nocturne en mi bémol majeur, op. 55, n° 2
Trois mazurkas, op. 59
Sonate n° 2 en si bémol mineur, op. 35
Les Concerts du dimanche présentent l'Orchestre Frank Martin
Zoe Zeniodi, direction
Elodie Fondacci, conteuse
Clémence Tilquin, soprano
Maria Warenberg, mezzo-soprano
Karis Tucker, alto
Jason Bridges, tenor
Frank Martin Le Conte de Cendrillon
Voilà une pièce qui, dans un contexte plus favorable (elle est créée en 1942), aurait rencontré un tout autre succès tant elle s’adresse à la fois à l’enfant et à l’adulte. Avec la palette sonore de son langage lentement maturé, Frank Martin y fait apparaître les dimensions les plus contradictoires du conte, la drôlerie et la cruauté propres à l’univers des frères Grimm. « Il fallait du sérieux, de la comédie, du mystère, de la tendresse et de la méchanceté, de la séduction perverse et de l’amour le plus pur. » L’histoire pour enfants revêt une dimension spirituelle : « c’est plus qu’une simple histoire d’amour, c’est l’histoire d’une âme atteignant la joie suprême après les afflictions de ce monde terrestre ». Entre humour et sérieux, la pièce est finalement surtout initiatique.
Geneva Camerata
David Greilsammer direction
Juan Kruz Díaz de Garaio Esnaola chorégraphie et danse
Martí Corbera danse
La Danse du Soleil
Jean-Baptiste Lully
Le Bourgeois Gentilhomme, suite orchestrale
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie n° 40 en sol mineur, K. 550
Geneva Camerata vous transporte dans une aventure mélangeant musique, danse et théâtre pour conter une ode à la vie, à l’espoir, à l’abandon et à l’amour. Danseurs et musiciens se retrouvent sur scène pour danser et jouer par cœur des chefs-d’œuvre de Lully et de Mozart.
Départ pour l’Amérique du Sud avec l’Orchestre de la Suisse Romande, Zofia Kiniorska et Valentine Michaud!
Zofia Kiniorska direction
Valentine Michaud saxophones & artiste en résidence OSR
Œuvres de Gardel, Manoukian, Milhaud, Piazzolla, Villa-Lobos
Départ pour l’Amérique du Sud, ses plages, ses clubs et ses rythmes chaloupés, pour suivre les aventures d’Aldo, le jeune saxophone qui aime par-dessus tout faire la fête et dont le rêve est de danser un jour avec ses cousins au célèbre Carnaval de Rio. Un conte original imaginé pour l’OSR par Valentine Michaud, artiste en résidence pour la saison 2024-25 qui vous fera découvrir la famille des saxophones, du plus petit au plus grand.
Jazz at Lincoln Center Orchestra & Wynton Marsalis
Le fantastique Jazz at Lincoln Center Orchestra (JLCO), composé de 15 des meilleurs solistes et ensembles de jazz, est l’orchestre attitré du Jazz at Lincoln Center à NYC depuis 1988 et passe plus d’un tiers de l’année en tournées dans le monde entier. Le chef et directeur musical de longue date n’est autre que le trompettiste virtuose et lauréat de neuf Grammy Awards Wynton Marsalis, sans doute le jazzman le plus influent du moment et le seul musicien à avoir remporté ce prix dans deux catégories différentes – jazz et classique – en l’espace d’un an (1983-1984). Cinq ans après son concert à guichets fermés au Victoria Hall, ce grand big band est de retour et prouvera une fois de plus que le jazz est l’expression de la joie de vivre et du respect mutuel. Réjouissons-nous de ce concert exclusif et inoubliable à Genève.
Niccolò Paganini, Vingt-quatre caprices pour violon solo
Tedi Papavrami, violon
Tedi Papavrami violon
Niccolò Paganini
Vingt-quatre caprices pour violon solo, MS 25 op. 1
Mozart pour la paix
L’Association AVETIS en collaboration avec l’UNESCO présente
Mozart pour la paix
du Requiem au gala d’opéra
Orchestra della Magna Grecia
Ensemble vocal Musikairos
John Axelrod direction
Barbara Frittoli soprano
Erwin Schrott baryton-basse
Varduhi Khachatryan mezzo-soprano
Migran Agadzhanyan ténor
Wolfgang Amadeus Mozart
Requiem
et les célèbres ouvertures, airs et duos de Mozart
La Clemenza di Tito – ouverture
La Clemenza di Tito – «Parto, parto»
Idomeneo – «Vedrommi intorno»
Le Nozze di Figaro – ouverture
Le Nozze di Figaro – «Porgi, amor»
Le Nozze di Figaro – «Via resti servita» – duo
Don Giovanni – ouverture
Don Giovanni – «Madamina»
Don Giovanni – «Là ci darem la mano» – duo
Orchestre Concertus Genève
Ensemble Vocal Orphée de Genève
Quatuor Terpsycordes
Mozart
Matthieu Schweyer direction
Karine Mkrtchyan soprano
Juliette Galstian mezzo-soprano
Gilles Bersier ténor
Claude Darbellay basse
Wolfgang Amadeus Mozart
Messe du Couronnement, K 317
Première partie
Quintette avec clarinette en la majeur, K 581
Quatuor Terpsycordes
Damien Bachmann clarinette
L’Orchestre de la Suisse Romande joue Wagner et Mendelssohn dirigé par Pablo Heras-Casado accompagnés par Alexei Volodin dans le Concerto n°1 de Liszt
Pablo Heras-Casado direction
Alexei Volodin piano
Richard Wagner
Parsifal, Prélude
Franz Liszt
Concerto pour piano et orchestre n° 1 en mi bémol majeur, S. 124
Richard Wagner
Parsifal, Enchantement du Vendredi saint
Felix Mendelssohn
Symphonie n° 5 en ré mineur, dite «Réformation», op. 107
Certains programmes racontent une histoire. C’est le cas de celui de ce soir qui relie, certainement fortuitement vu son antisémitisme fondamental, Wagner à Mendelssohn. Tous deux ont en effet utilisé les mêmes sept accords mystiques de l’Amen de Dresde joué lors des services religieux en Saxe aussi bien par les protestants que par les catholiques. Mendelssohn les glisse habilement dans sa Symphonie de la «Réformation» composée pour les 300 ans de la Confession d’Augsbourg alors que Wagner les utilise à son tour comme leitmotiv de Parsifal, son dernier opéra, dès le merveilleux Prélude. Quant à Liszt, il fut l’ami proche des deux compositeurs. Son Concerto pour piano n° 1 fait le bonheur des virtuoses depuis sa création en 1855. Son premier thème martial reste aussitôt dans les oreilles et l’apparition, pour la première fois dans un orchestre, du triangle ne passe pas inaperçu!
Requiem de Fauré et Requiem de Saint-Saëns par l’Ensemble vocal Orphée
l’Orchestre symphonique Orphée
Matthieu Schweyer, direction
Ensemble vocal Orphée
Orchestre symphonique Orphée
Matthieu Schweyer direction
Diego Innocenzi orgue
Clémence Tilquin soprano
Mi-Young Kim mezzo-soprano
José Pazos ténor
Seong-Ho Han basse
Gabriel Fauré
Requiem
Camille Saint-Saëns
Requiem
Gli Angeli Genève
Stephan MacLeod basse et direction
Aleksandra Lewandowska et Deborah Cachet sopranos
Charles Sudan alto
Samuel Boden ténor
Drew Santini basse
Johann Sebastian Bach
Passion selon saint Jean
À Leipzig, Johann Sebastian Bach a composé plusieurs Passions pour les services du Vendredi-Saint. Certaines ont été perdues, et des deux qui nous soient parvenues, la Passion selon saint Jean est celle de l’urgence, de l’humanité ébranlée, des sentiments immédiats et exacerbés, en opposition avec la Passion selon saint Matthieu dont le ton est plus contemplatif. Ici, tout est théâtre, tout est spectacle. Il y a la place laissée à l’action tout d’abord puisque Bach et son librettiste choisissent de prendre le récit de l’évangéliste au moment même de la trahison et de l’arrestation du Christ. Nul recul ici, nul répit: l’auditeur est saisi dès les premières mesures de l’œuvre et les effets conjugués de la puissance du récit et de la profondeur de la musique de Bach ne vont plus le lâcher.
Une exécution de la Passion selon saint Jean, aussi informée historiquement qu’elle soit, est forcément un compromis. En effet, Bach n’en a pas laissé de version définitive comme il a pu le faire pour la Passion selon saint Matthieu. Le puzzle qu’il nous a laissé n’en forme pas moins une des plus belles œuvres musicales de l’histoire, tragique, palpitante, et époustouflante de beauté.
Le concert est précédé d’une présentation par M. Philippe Albèra à 16h15.
Soirée éblouissante avec l’Orchestre de la Suisse Romande dirigé par Elim Chan et le virtuose Renaud Capuçon au violon.
Elim Chan direction
Renaud Capuçon violon
Elizabeth Ogonek
All These Lighted Things, trois petites danses pour orchestre
Richard Strauss
Concerto pour violon et orchestre en ré mineur, op. 8
Serge Prokofiev
Roméo et Juliette, extraits des suites de ballet n° 1 et 2
Inspirées par la poésie mystique du moine trappiste américain Thomas Merton, les trois petites danses All These Lighted Things ont été créées en 2017 par Riccardo Muti lors de la résidence de la compositrice américaine Elizabeth Ogonek à l’Orchestre Symphonique de Chicago. Sa musique, souple et comme en apesanteur, utilise une abondante section de percussion donnant à ces pièces un charme singulier. Si le Concerto pour violon op. 8 composé par un Richard Strauss de 17 ans est une curiosité, il témoigne surtout de la précocité et du savoir-faire d’un jeune homme éperdument romantique. Avec Roméo et Juliette, Prokofiev hisse sans peine sa musique au niveau des grands ballets de Tchaïkovski. Magistralement arrangées par le compositeur, les deux suites reprennent les grands moments de cette géniale partition tout en permettant aux chefs d’orchestre de réaliser leur propre agencement.
Soirée éblouissante avec l’Orchestre de la Suisse Romande dirigé par Elim Chan et le virtuose Renaud Capuçon au violon.
Elim Chan direction
Renaud Capuçon violon
Elizabeth Ogonek
All These Lighted Things, trois petites danses pour orchestre
Richard Strauss
Concerto pour violon et orchestre en ré mineur, op. 8
Serge Prokofiev
Roméo et Juliette, extraits des suites de ballet n° 1 et 2
Inspirées par la poésie mystique du moine trappiste américain Thomas Merton, les trois petites danses All These Lighted Things ont été créées en 2017 par Riccardo Muti lors de la résidence de la compositrice américaine Elizabeth Ogonek à l’Orchestre Symphonique de Chicago. Sa musique, souple et comme en apesanteur, utilise une abondante section de percussion donnant à ces pièces un charme singulier. Si le Concerto pour violon op. 8 composé par un Richard Strauss de 17 ans est une curiosité, il témoigne surtout de la précocité et du savoir-faire d’un jeune homme éperdument romantique. Avec Roméo et Juliette, Prokofiev hisse sans peine sa musique au niveau des grands ballets de Tchaïkovski. Magistralement arrangées par le compositeur, les deux suites reprennent les grands moments de cette géniale partition tout en permettant aux chefs d’orchestre de réaliser leur propre agencement.
Richard Galliano – Paolo Fresu – Jan Lundgren: Mare Nostrum, 20 ans
Que se passe-t-il quand on se tient au bord de la mer et que l’on regarde vers l’horizon infini? On se sent libre et sans limites, tandis que les vagues s’échouent doucement sur le rivage. Il y a maintenant vingt ans, trois musiciens européens d’exception se sont retrouvés pour transmettre ce sentiment de liberté et de sécurité. Richard Galliano, Paolo Fresu et Jan Lundgren couvrent tout l’éventail stylistique, de l’impressionnisme subtil aux traits fortement romantiques, des phrases mélodiques accrocheuses à la vitalité débordante. Une musique qui correspond aux charismes complètement différents des trois musiciens qui se passent de pitreries égocentriques et pourtant ne renoncent pas complètement à l’exubérance virtuose. Leur nouvel album Mare Nostrum IV suivra. Venez découvrir sur scène à Genève Mare Nostrum lors de leur «20 Years Anniversary Tour».
Le Concert des Nations & le Ballet du Théâtre national slovène de Maribor
Jordi Savall direction
Edward Clug chorégraphie
Jean-Philippe Rameau
Les Boréades, tragédie lyrique
Christoph Willibald Gluck
Musique pour le ballet Don Juan ou le Festin de Pierre
L’ultime tragédie lyrique de Rameau a disparu de la scène avant même sa création, pour ressurgir dans toute sa splendeur deux siècles plus tard. Gluck lui répond avec le premier ballet d’action de l’histoire musicale, qui réunit ici comme il se doit danseurs et musiciens.
Anastasia Kobekina, violoncelle
Jean-Sélim Abdelmoula, piano
Anastasia Kobekina violoncelle
Jean-Sélim Abdelmoula piano
Nadia Boulanger
Trois Pièces pour violoncelle et piano
Dmitri Chostakovitch
Sonate pour violoncelle et piano en ré mineur, op. 40
Claude Debussy
Sonate pour violoncelle et piano en ré mineur
Paul Juon
Märchen, op. 8
César Franck
Sonate pour violon en la majeur, FWV 8 (arr. pour violoncelle et piano)
Les Concerts du dimanche présentent l'Orchestre de la Suisse Romande et Nadège Rochat
Jonathan Nott, direction
Nadège Rochat, violoncelle
Marie Jaëll, Concerto pour violoncelle
Igor Stravinsky, Petrushka
Magnifique redécouverte que celle de Marie Jaëll (1846-1925). Pianiste, elle triomphe en Europe avant même d’intégrer le Conservatoire de Paris, d’y obtenir le premier prix quatre mois plus tard, et de continuer ses tournées. Entre 1870 et 1895, portée par une « frénésie », une « passion qui renverse tous les obstacles », elle compose une soixantaine d’œuvres instrumentales et vocales. Son merveilleux concerto pour violoncelle est l’un des sommets de son œuvre. Les textures colorées de l’orchestre, lumineuses, forment l’aube de la musique française du siècle qui va suivre. Quand Petrushka, deuxième ballet de Stravinsky, est créé à Paris en 1911, Marie Jaëll ne compose plus, elle conduit des recherches novatrices qui éclairent les relations entre le toucher du piano et la psychologie.
Turangalîla-Symphonie de Messiaen interprété par l’OSR, Bertrand de Billy (direction), Kit Armstrong (piano) et Cécile Lartigau (ondes Martenot)
Bertrand de Billy direction
Kit Armstrong piano
Cécile Lartigau ondes Martenot
Olivier Messiaen
Turangalîla-Symphonie, pour piano principal, ondes Martenot et grand orchestre
La Turangalîla-Symphonie d’Olivier Messiaen fut jouée pour la première fois par l’OSR lors d’un concert mémorable en 1981, sous la direction de Horst Stein, en présence du compositeur venu assister à toutes les répétitions. Ce fut alors un événement et entendre ce monument symphonique en est toujours un. Cet immense chant d’amour se développe en dix mouvements en convoquant un effectif considérable auquel s’ajoutent le piano et les ondes Martenot. N’ayant de symphonie que le nom, elle est plutôt conçue comme une symphonie concertante pour tous les pupitres de l’orchestre et particulièrement pour le piano, dont la terrible partie fut écrite pour Yvonne Loriod, son épouse. Cette œuvre vibrionnante brille de mille couleurs grâce à son orchestration rappelant les gamelans orientaux qui l’ont inspirée. Le mysticisme universel de Messiaen est à son comble dans ce chef-d’œuvre.
Turangalîla-Symphonie de Messiaen interprété par l’OSR, Bertrand de Billy (direction), Kit Armstrong (piano) et Cécile Lartigau (ondes Martenot)
Bertrand de Billy direction
Kit Armstrong piano
Cécile Lartigau ondes Martenot
Olivier Messiaen
Turangalîla-Symphonie, pour piano principal, ondes Martenot et grand orchestre
La Turangalîla-Symphonie d’Olivier Messiaen fut jouée pour la première fois par l’OSR lors d’un concert mémorable en 1981, sous la direction de Horst Stein, en présence du compositeur venu assister à toutes les répétitions. Ce fut alors un événement et entendre ce monument symphonique en est toujours un. Cet immense chant d’amour se développe en dix mouvements en convoquant un effectif considérable auquel s’ajoutent le piano et les ondes Martenot. N’ayant de symphonie que le nom, elle est plutôt conçue comme une symphonie concertante pour tous les pupitres de l’orchestre et particulièrement pour le piano, dont la terrible partie fut écrite pour Yvonne Loriod, son épouse. Cette œuvre vibrionnante brille de mille couleurs grâce à son orchestration rappelant les gamelans orientaux qui l’ont inspirée. Le mysticisme universel de Messiaen est à son comble dans ce chef-d’œuvre.
Budapest Festival Orchestra
Iván Fischer direction
Gustav Mahler
Symphonie n° 5
Le Budapest Festival Orchestra s’attaque à la Symphonie n° 5 de Mahler qui retrace un combat acharné contre le destin, où le protagoniste semble battu d’avance.
Soirée Beethoven avec l’Orchestre de la Suisse Romande, Daniele Gatti et Christian Tetzlaff
Daniele Gatti direction
Christian Tetzlaff violon
Ludwig van Beethoven
Concerto pour violon et orchestre en ré majeur, op. 61
Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, dite «Héroïque», op. 55
Intelligence et sensibilité sont au rendez-vous des interprétations de Christian Tetzlaff dont on salue le retour dans nos concerts. Il est aussi un des rares artistes capable d’avoir sa propre conception d’une œuvre et du Concerto pour violon en ré majeur de Beethoven en particulier, dont il a réalisé un enregistrement sauvage, frémissant et très personnel. Il sera intéressant de confronter au cours de notre saison deux conceptions différentes de la Symphonie «Héroïque» de Beethoven entre l’approche chambriste de l’OCL et la version symphonique proposée ici par l’OSR, sous la direction de Daniele Gatti qui avoue privilégier le côté tendre et humaniste de Beethoven. C’est bien l’impression qu’il avait laissée en 2023 en dirigeant la Symphonie «Pastorale». Le chef italien a par ailleurs présenté plusieurs fois le cycle Beethoven complet en concert.
Soirée Beethoven avec l’Orchestre de la Suisse Romande, Daniele Gatti et Christian Tetzlaff
Daniele Gatti direction
Christian Tetzlaff violon
Ludwig van Beethoven
Concerto pour violon et orchestre en ré majeur, op. 61
Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, dite «Héroïque», op. 55
Intelligence et sensibilité sont au rendez-vous des interprétations de Christian Tetzlaff dont on salue le retour dans nos concerts. Il est aussi un des rares artistes capable d’avoir sa propre conception d’une œuvre et du Concerto pour violon en ré majeur de Beethoven en particulier, dont il a réalisé un enregistrement sauvage, frémissant et très personnel. Il sera intéressant de confronter au cours de notre saison deux conceptions différentes de la Symphonie «Héroïque» de Beethoven entre l’approche chambriste de l’OCL et la version symphonique proposée ici par l’OSR, sous la direction de Daniele Gatti qui avoue privilégier le côté tendre et humaniste de Beethoven. C’est bien l’impression qu’il avait laissée en 2023 en dirigeant la Symphonie «Pastorale». Le chef italien a par ailleurs présenté plusieurs fois le cycle Beethoven complet en concert.
Carl Orff – Carmina Burana
Brass Band des Savoie
Ensemble Vocal Orphée
William Thébaudeau-Müller direction
Brass Band des Savoie (dir. William Thébaudeau-Müller)
Ensemble Vocal Orphée (dir. Matthieu Schweyer)
Chœur d’enfants de Thoiry (dir. Anne Seigneur)
Karine Mkrtchyan soprano
Sacha Michon baryton
Carl Orff
Carmina Burana
L’Orchestre de la Suisse Romande avec Lorenzo Viotti: Brahms Symphonie n° 3 et Dvořák Symphonie n° 7
Lorenzo Viotti direction
Johannes Brahms
Symphonie n° 3 en fa majeur, op. 90
Antonín Dvořák
Symphonie n° 7 en ré mineur, op. 70
Chez les Viotti comme chez les Jordan, on est chef d’orchestre de père en fils! Pour sa première apparition au pupitre de l’OSR, Lorenzo Viotti a choisi un programme romantique. C’est grâce aux chaleureuses recommandations de Johannes Brahms qu’Antonín Dvořák s’est fait peu à peu connaître auprès des éditeurs et du public. Leur voisinage ce soir n’est donc pas le fruit du hasard. La Troisième Symphonie de Brahms démarre sur les chapeaux de roues avec une énergie qui ne prendra fin qu’aux dernières mesures du finale qui semblent se dissoudre dans l’air comme un gaz harmonieux. La musique de Brahms atteint rarement une joie si communicative et une vision radicalement optimiste. C’est aussi le cas de la Symphonie n° 7 d’Antonín Dvořák qui regorge de rythmes et de mélodies populaires de Bohême, en particulier dans le vigoureux scherzo qui ressemble aux fameuses Danses slaves.
Gli Angeli Genève
Benjamin Levy direction
Judith van Wanroij soprano
Julian Prégardien ténor
Stephan MacLeod basse
Joseph Haydn
Die Jahreszeiten
Trois ans après Die Schöpfung que Gli Angeli Genève proposait en clôture du festival en 2022, c’est l’autre grand oratorio de Joseph Haydn qui est mis à l’honneur en 2025. Le baron van Swieten, qui avait déjà traduit en allemand pour Haydn le livret anglais de La Création proposa de son propre chef au compositeur son arrangement de The Seasons de l’Écossais James Thomson. Ce long ouvrage en vers alors très en vogue en Angleterre, qui chante le cycle de la nature et la vie des campagnards, ne plut pas tout de suite au compositeur, qui, cherchant à s’inscrire dans la tradition haendelienne de l’oratorio britannique, n’apprécia pas un sujet qui n’avait rien de religieux. Heureusement qu’il persévéra, au prix de querelles assez retentissantes avec son librettiste d’ailleurs, car ces Saisons forment un collier splendide de perles délicates et humbles qu’enfilera pour nous le très fin chef Benjamin Levy, aux commandes de Gli Angeli Genève à cette occasion. Benjamin Levy n’est pas qu’un excellent chef d’orchestre, il est aussi un hédoniste, que la musique de Haydn rend heureux. La perspective de son travail avec notre orchestre, notre chœur, et les solistes Judith van Wanroij, Julian Prégardien et Stephan MacLeod est déjà une promesse tenue.
Le concert sera présenté par Philippe Albèra à 19h15.
Grigory Sokolov, piano
Grigory Sokolov piano
Le programme sera communiqué ultérieurement
Découvrez «Les Quatre Saisons» de Vivaldi avec toute la famille! L’OSR vous emporte à travers le printemps, l’été, l’automne et l’hiver.
Lucie Leguay direction
Bogdan Zvoristeanu violon
Sandra Albukrek création visuelle
Antonio Vivaldi
Les Quatre Saisons
Le mythe, la légende… 300 ans exactement après leur publication, ces quatre concertos pour violon continuent de fasciner les oreilles du monde entier. Portés par le premier violon solo de l’OSR Bogdan Zvoristeanu et accompagnés par la cheffe Lucie Leguay, «La primavera», «L’estate», «L’autunno» et «L’inverno» seront illustrés par l’univers coloré et fantastique de l’artiste Sandra Albukrek.
Les Ambassadeurs – La Grande Écurie
Chœur de Chambre de Namur
Alexis Kossenko direction
Lucile Richardot alto
Julien Dran ténor
Edwin Fardini baryton
Stephan MacLeod basse
Felix Mendelssohn
Die erste Walpurgisnacht, op. 60
Concerto pour violon et orchestre en mi mineur, op. 64
Goethe décrit dans sa ballade Die erste Walpurgisnacht comment le peuple, empêché par le clergé de célébrer le rite païen du 1er mai, décide de jouer un tour aux chrétiens et de les terroriser en se déguisant et en convoquant une armée de pseudo-sorcières et de faux démons. Imaginez seulement ce qui peut arriver lorsqu’un virtuose de l’orchestre comme Mendelssohn décide de mettre en musique une telle nuit de Sabbat! Il fait surgir une véhémente tempête en guise d’ouverture, puis des êtres malicieux, féeriques ou maléfiques semblent sortir par tous les pores de la musique. Ils sont là, ça frétille, ça s’agite, ça ricane, ça bout, et tout d’un coup ça explose dans un gigantesque sabbat qui fait perdre tous ses repères à l’auditeur, littéralement étourdi par le tourbillon des sorcières!
Le Concerto pour violon de Mendelssohn, contemporain de sa grande cantate, en sera le miroir, pour un programme aussi rare qu’alléchant.
Alexis Kossenko, complice de longue date de Gli Angeli, ami cher et musicien merveilleux, vient à Genève à la tête de ses Ambassadeurs – La Grande Écurie et du Chœur de Chambre de Namur pour un concert qui fait déjà date, de par son merveilleux programme, et parce qu’il s’inscrit dans l’Intégrale Mendelssohn déjà historique dans laquelle le chef et son orchestre se sont récemment lancés.
Le concert sera présenté par M. Philippe Albèra à 16h15.